Commerce Suisse salue ce résultat et remercie le Conseil fédéral et toutes les parties prenantes

Commerce Suisse salue expressément l’accord trouvé aujourd’hui dans le différend douanier avec les États-Unis. Cette solution envoie un signal fort pour la place commerciale suisse et apporte une sécurité de planification indispensable à l’économie orientée vers l’exportation. Elle évite de nouvelles charges pour les entreprises suisses et contribue à préserver la compétitivité internationale du site économique.

« Nous sommes très heureux de cet accord. Il revêt une grande importance pour l’économie suisse », déclare Kaspar Engeli, directeur de Commerce Suisse. « Nous remercions le Conseil fédéral et toutes les instances impliquées, qui se sont engagés avec beaucoup de détermination pour trouver une solution. Commerce Suisse demandait une clarification depuis longtemps – il est d’autant plus important que les tarifs douaniers restent stables pour l’instant ou, dans le meilleur des cas, continuent à baisser. »
L’accord confirme l’importance du libre-échange fondé sur des règles pour la Suisse
L’incertitude qui a régné ces derniers mois montre clairement les risques qui surviennent lorsque l’on s’écarte d’un commerce mondial ouvert et fondé sur des règles. Pour un petit pays, fortement interconnecté comme la Suisse, des relations commerciales fiables, équitables et stables sont essentielles.
Les expériences récentes le confirment : un accès au marché mondial qui fonctionne n’a rien d’un acquis. Les barrières commerciales, les tensions géopolitiques et les tendances protectionnistes peuvent causer d’importants dommages économiques.
Des relations commerciales stables garantissent l’approvisionnement et la compétitivité
Commerce Suisse continuera à s’engager avec détermination pour une place commerciale suisse forte, pour des marchés ouverts et pour des relations internationales stables. Les piliers essentiels pour y parvenir sont les suivants :
Diversification des relations commerciales afin de réduire les dépendances
Accords de libre-échange modernes avec les partenaires établis comme avec les marchés dynamiques en croissance
Voie bilatérale avec l’UE qui reste essentielle pour la sécurité d’approvisionnement, la prévisibilité et la stabilité.
« Les marchés ouverts sont le poumon de l’économie suisse. Cela vaut autant pour les importations que pour les exportations », ajoute Kaspar Engeli. « Nous continuerons à nous engager pour que la Suisse bénéficie de conditions commerciales fiables dans un environnement de plus en plus exigeant. »

Ce que disent nos membres

«Weltwirtschaftliche Krisen geben sich die Hand. Die Herausforderungen des Handels werden komplexer. Ein starker Verband mit klarer Strategie und Konsequenz gibt Orientierung und unterstützt bei anstehenden Aufgaben.»

Thomas Freuler

Präsident Schweizer Stahl- und Haustechnikverband / Spaeter AG
Vorstand Handel Schweiz

Ce que disent nos membres

« Handel-Schweiz ist aktiv und engagiert sich für den Erhalt und die Entwicklung von handelsfreundlichen Rahmenbedingungen. Denn nur ein freier Handel garantiert die Versorgungssicherheit der Schweiz und führt zu wirtschaftlichem Erfolg. »

Benjamin Stähelin

Geschäftsführer Tioman Trading SA

Ce que disent nos membres

« Handel Schweiz engagiert sich für praxisnahe Ausbildungen, um in der Berufsausbildung am Puls zu sein. Unsere Lernenden profitieren, dank einer soliden Grundlage, von tollen Karrierechancen für eine erfolgreiche berufliche Zukunft im Handelssektor. »

Karin Streit-Heizmann

Geschäftsführerin Heizmann AG

Ce que disent nos membres

« Gemeinsam mit andern für den Handel das Beste tun. »

Hans Christian von der Crone

Geschäftsführer Nimex AG / Vorstand Handel Schweiz

Soutien clair aux Bilatérales III

Les membres de Commerce Suisse saluent la réduction des obstacles techniques au commerce.

La poursuite de la réduction des obstacles au commerce est une priorité pour les membres de Commerce Suisse. Dans le sondage réalisé auprès des membres concernant les Bilatérales III, la reconnaissance mutuelle en matière d’évaluations de la conformité (MRA) est largement saluée. Le résultat des négociations dans les dossiers relatifs aux transports ainsi que la participation aux programmes de recherche de l’UE reçoivent également un large soutien. Les critiques à l’égard des accords restent minoritaires, même dans le dossier controversé tels que la libre circulation des personnes. Les entreprises membres souhaitent que Commerce Suisse s’engage au niveau politique à la fois en faveur des Bilatérales III et de nouveaux accords de libre-échange. Elles souhaitent également qu’un accord soit trouvé rapidement dans le conflit douanier avec les États-Unis.

Les accords sur le marché intérieur entre la Suisse et l’Union européenne existent depuis 25 ans. Les entreprises membres de Commerce Suisse considèrent dans l’ensemble les accords bilatéraux comme très positifs pour leurs activités commerciales : 79 % les jugent positifs ou plutôt positifs, tandis que seulement 14 % les évaluent comme plutôt négatifs ou négatifs.[1]

La consultation sur les Bilatérales III se poursuit jusqu’à fin octobre. Dans ce contexte, Commerce Suisse a interrogé ses membres en septembre 2025 sur ce paquet d’accords et les droits de douane américains. Les résultats offrent un aperçu intéressant de la conjoncture actuelle de la politique économique extérieure, bien qu’ils ne soient toutefois pas représentatifs.

L’évaluation positive se reflète dans les différents volets des accords bilatéraux III. Le résultat des négociations sur l’accord aérien est jugé positif à la quasi-unanimité. Il réglemente l’accès des compagnies aériennes suisses au marché aérien de l’UE. 75 % jugent le résultat des négociations positif ou plutôt positif, contre seulement 10 % d’avis contraires.

En ce qui concerne les obstacles techniques au commerce respectivement le nouvel accord sur la reconnaissance mutuelle (ARM) : 67 % des entreprises interrogées jugent le nouvel accord positif ou plutôt positif, tandis que 18 % ont une perception négative ou plutôt négative.
Un membre du secteur du jouet remarque que « sans cet accord, l’importation et l’exportation seraient considérablement entravées, entraînant des prix plus élevés pour les consommateurs et un désavantage concurrentiel supplémentaire pour les fournisseurs suisses. »

Le résultat des négociations concernant la participation de la Suisse aux programmes européens en matière d’éducation, de recherche et d’innovation bénéficie d’un large soutien parmi les personnes interrogées. Une confortable majorité de 69 % le juge positif ou plutôt positif. 25 % sont d’avis contraire.

En ce qui concerne les transports terrestres, le résultat du sondage est tout aussi positif : 64 % des personnes interrogées évaluent positivement le résultat des négociations, notamment le maintien de la limite des 40 tonnes et de la restriction des véhicules étrangers aux seuls transports transfrontaliers. 22 % expriment un jugement négatif.

En matière de protection des salaires, le résultat des négociations est considéré comme un peu plus controversé. 60 % des entreprises jugent le résultat des négociations positif ou plutôt positif. 29 % des entreprises penchent plutôt pour le contraire. Un membre commente :  « Des conditions de travail équitables et un processus de détachement clairement réglementé créent un marché stable et juste pour tous les acteurs. » Un autre membre craint toutefois une hausse des coûts de production en Suisse.

Dans le dossier de l’agriculture et de la sécurité alimentaire, 58 % jugent le résultat positif ou plutôt positif, tandis que 30 % expriment une opinion contraire. Le nouvel accord sur le marché de l’électricité est plus controversé: une majorité de 53 % voit plutôt des avantages. 36 % se montrent sceptiques et le considèrent plutôt négativement.

La libre circulation des personnes fait souvent l’objet de discussions dans les médias. 50 % des entreprises jugent le résultat des négociations positif ou plutôt positif alors que 43 % le considèrent négativement. L’attitude divisée de la population se retrouve donc parmi les membres de Commerce Suisse, même si la moitié d’entre eux saluent le compromis du Conseil fédéral.

En matière de réglementations relatives aux aides d’État, thématique moins pertinente pour la branche, 50 % estiment le résultat positif ou plutôt positif, contre 36 % d’avis contraires. Seule une majorité relative de 46 % estime que les nouvelles règles institutionnelles convenues avec l’UE sont positives ou plutôt positives pour leur affaires. 43 % ont une opinion négative.

Un référendum contre le résultat des négociations est attendu. 54 % des personnes interrogées estiment qu’un échec des Bilatérales III aurait un impact négatif ou plutôt négatif sur leur entreprise. Une entreprise résume ainsi la situation : « En tant qu’entreprise commerciale, nous dépendons fortement du marché européen tant pour nos achats que pour nos ventes. (…) La Suisse fait partie de l’Europe et doit accepter des compromis. Le cas des États-Unis a montré que la Suisse surestime son importance. »

Un autre ajoute : « Un échec des Bilatérales III aurait des conséquences graves. Le plus grand risque serait la disparition des ARM, donc la réapparition des obstacles techniques au commerce. » Cependant, 36 % des entreprises ne partagent pas ces craintes et voient des avantages dans un rejet des accords.

Conformément à l’évaluation générale, 54 % des entreprises interrogées estiment que Commerce Suisse devrait s’engager activement dans une campagne en faveur des Bilatérales III. Une minorité de 31 % n’est pas de cet avis.

Les membres de Commerce Suisse se sont également exprimés sur le conflit douanier avec les États-Unis. Le secteur de l’importation n’est que marginalement touché. Dans le sondage, les importateurs manifestent toutefois leur solidarité avec l’industrie exportatrice suisse : 78 % d’entre eux jugent important que le Conseil fédéral parvienne rapidement à un accord pour atténuer les droits de douane américains. Ce différend douanier ne semble pas influencer de manière significative la position des membres vis-à-vis des Bilatérales III (45 %). Cependant, un peu plus de membres ont une opinion plutôt positive ou positive à l’égard des accords bilatéraux (30 %), tandis que 20 % se montrent plus critiques en raison de ces événements.

Les entreprises participantes accordent une grande importance aux accords de libre-échange conclus par la Suisse avec le reste du monde, notamment avec la Chine, le Japon, l’Inde, le Canada, l’Indonésie et le Mercosur. Dans ce domaine également, le souhait d’une implication politique accrue de Commerce Suisse est très marqué.

[1] Les 7 % restants ne se sont pas exprimés sur la question. Pour des raisons de lisibilité, nous renonçons par la suite à mentionner, pour chaque question, le pourcentage de personnes n’ayant pas répondu.

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Les candidat·es réussissent la deuxième session d’examens finaux

Pour la deuxième fois, l’examen final menant au brevet fédéral de spécialiste en e-commerce s’est tenu à Zurich.

Après un an et demi – soit environ 400 heures de cours préparatoires, sept examens modulaires et la rédaction d’un rapport de développement complet – quatorze candidat·es se sont présenté·es, le 27 août 2025, à l’examen oral. Ils ont été évalués par quatorze expert·es. Au cours de trois sessions orales d’une demi-heure, les 7 candidates et 7 candidats ont été soumis à un nouvel examen approfondi par 14 experts. Dans la première partie de l’examen oral, intitulée « entretien technique », les rapports de développement ont été examinés de manière structurée et approfondie. Dans la deuxième partie, les futurs spécialistes du commerce électronique ont dû traiter et résoudre deux incidents critiques et deux mini-cas sans préparation préalable en 30 minutes. Pour finir, ils ont dû analyser une boutique en ligne qui leur avait été attribuée individuellement en 45 minutes de préparation et préparer une présentation de 10 minutes. Après la présentation, les candidats ont dû répondre aux questions des équipes d’experts chargés de l’examen. Un grand merci aux experts qui ont mené les examens de manière irréprochable et ont mis à profit leurs expertises.

Les candidat·es ont été très bien préparé·es et formé·es à l’examen par les instituts de préparation FfD (Fachschule für Detailhandel Verkauf & E-Commerce) et eFachausweis. Il s’agit là d’un élément extrêmement important pour l’avenir de la formation continue dans le domaine du brevet fédéral. Un grand merci et toutes nos félicitations à ces instituts.

Le 23 septembre 2025, nous avons eu le plaisir de remettre leur certificat professionnel et leur relevé de notes à tous les candidat·es lors d’une cérémonie festive organisée chez Google à Zurich, en présence de leurs proches et d’une trentaine d’experts en commerce électronique. La moyenne des notes obtenues aux différentes épreuves, comprise entre 4,6 et 5,4, témoigne du niveau élevé de l’examen. Tous les candidat·es ont réussi l’examen. Nous félicitons Jan Diego Jungclaus, Import Parfümerie, qui a obtenu la meilleure note de cette promotion avec 5,7.

9 des 14 spécialistes du commerce électronique ayant réussi lors de la remise des diplômes.

Bernhard Egger, président de la QSK : « L’avenir ne fait que commencer. Pour le commerce de détail, cette formation au niveau du brevet fédéral constitue une étape importante dans la carrière professionnelle et surtout un pas dans la bonne direction vers l’avenir de l’omnicanal. Dans de nombreux secteurs, les consommateurs achètent aujourd’hui de manière hybride, c’est-à-dire via différents canaux. Les titulaires de ce brevet fédéral sont parfaitement préparés pour la suite de leur carrière. Just Commerce. »

À qui s’adresse le brevet fédéral ?

Le brevet fédéral de spécialiste en commerce électronique s’adresse en particulier aux personnes actives dans le domaine du commerce numérique qui sont curieuses et ouvertes à la nouveauté, qui souhaitent façonner le commerce de demain et garder une vue d’ensemble dans l’environnement exigeant du commerce électronique. La formation continue convient particulièrement aux personnes qui ont suivi un apprentissage professionnel au niveau du certificat fédéral de capacité (CFC) dans des domaines connexes : commerce de détail, commerce et administration, médiamatique, informatique, etc. Mais le certificat professionnel est également accessible aux personnes intéressées titulaires d’un diplôme d’apprentissage dans un autre secteur.

Pour être admis à l’examen professionnel fédéral, il faut, en plus du CFC, avoir au moins deux ou trois ans d’expérience professionnelle dans le commerce électronique, avoir réussi les examens modulaires et présenter un rapport d’expérience écrit accompagné de documents pratiques.

Ce qui attend les étudiants dans la formation continue

Les étudiants suivent environ 300 à 400 heures de cours réparties en sept modules pratiques et passent un examen par module. Pendant la formation continue, ils doivent également rédiger des rapports pratiques dans les différents modules. Ceux-ci doivent ensuite être compilés dans un rapport de développement qui sera évalué par les experts chargés des examens. La partie orale de l’examen professionnel se compose des trois parties décrites ci-dessus.

Organismes scolaires responsables

La formation continue est proposée par les établissements d’enseignement suivants : eFachausweis et FfD – Fachschule für Detailhandel. Dans le cadre des conditions générales fixées par l’organisme responsable, les établissements d’enseignement sont libres d’organiser la formation comme ils l’entendent et sous leur propre responsabilité. L’offre varie selon les écoles et couvre différents besoins tels que la durée de la formation, le rythme d’apprentissage, le mode d’apprentissage (numérique, hybride ou sur place) et la taille des classes. « Il vaut la peine de contacter les différents établissements d’enseignement pour s’informer sur l’offre et choisir ensuite l’école qui convient », explique Bernhard Egger.

A savoir : après l’examen professionnel, la Confédération finance 50 % des frais de formation continue préparatoire, jusqu’à concurrence de 9 500 francs, si ceux-ci ont été payés par les étudiants eux-mêmes.

Les personnes intéressées trouveront de plus amples informations sur le contenu de la formation, les conditions d’admission et les examens, ainsi que des articles de blog rédigés par des étudiants actuels, sur le site web de l’association responsable : www.e-com.swiss (en allemand).

 

Que disent les diplômés à propos de la formation ?

« La formation correspondait exactement à ce que je recherchais. J’ai acquis beaucoup de connaissances pratiques et, aujourd’hui, j’ai nettement progressé sur le plan technique et professionnel par rapport à il y a deux ans. »
Enita Kuci, Ochsner Shoes SA

« Je recommande vivement cette formation continue. La combinaison entre théorie et mise en pratique m’a énormément aidé dans mon travail quotidien. La flexibilité des cours, entre présentiel et en ligne, est très facile à concilier. »
Alexander Schärer, Jumbo SA

« Cette formation m’a permis d’élargir considérablement mes horizons dans le commerce numérique et d’augmenter nettement mon attractivité sur le marché du travail. »
Florian Wälterlin, Anouk SA

« Cette formation continue était la bonne décision pour moi. Les contenus pratiques et le lien direct avec le quotidien professionnel m’ont aidé à approfondir mes connaissances de manière ciblée et à les mettre à profit. Je me sens aujourd’hui parfaitement préparé pour les prochaines étapes dans le domaine du commerce électronique. »
Stephanie Herzog, SPHS Sarl

« Le certificat professionnel m’a ouvert de nouvelles perspectives professionnelles et constitue une étape importante pour la suite de ma carrière. »
Sandrine Benvenuto, SkinPro SA

« La formation m’a permis de progresser considérablement sur le plan technique dans le domaine du commerce électronique, tout en me donnant un élan important sur le plan personnel. Je mets quotidiennement en pratique ce que j’ai appris dans ma boutique. »
Dominic de Sluca, BestofBasics.ch

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Pourquoi l’initiative des Jeunes socialistes menace les entreprises familiales

La nouvelle initiative des Jeunes socialistes s’attaque directement aux moyennes et grandes entreprises familiales suisses.

Elle prévoit un impôt sur les successions de 50 % sur les successions supérieures à 50 millions de francs. Cela aurait des conséquences dramatiques pour de nombreuses entreprises : en cas de succession, elles seraient contraintes de s’endetter lourdement, de vendre une partie de leurs actifs, voire d’être démantelées.

Ce que les Jeunes socialistes ne comprennent pas, c’est que la fortune de nombreux entrepreneurs prospères n’est pas placée en espèces à la banque, mais investie dans leur entreprise. Pour payer un tel impôt, leurs héritiers devraient souvent céder l’entreprise ou la vendre dans l’urgence, parfois à des investisseurs étrangers sans aucun lien avec la région, les employés ni la tradition. Cela ne toucherait pas seulement les entreprises elles-mêmes, mais aussi de nombreuses PME sous-traitantes et partenaires qui sont étroitement liées à elles et dont les commandes sont cruciales pour leur propre survie.

L’initiative prive ainsi les entreprises familiales des moyens dont elles ont besoin pour investir dans des technologies durables, des produits innovants et des emplois sûrs. Au lieu de garantir la pérennité de ces entreprises, cette initiative met des bâtons dans les roues de la prochaine génération d’entrepreneurs.

Les entreprises familiales sont le pilier de notre économie : elles créent des emplois, sont ancrées dans leur région, investissent localement et contribuent de manière significative aux recettes fiscales. Un impôt sur les successions aussi radical détruirait ces fondements.

L’initiative des Jeunes socialistes est un autogoal : elle affaiblit les entreprises prospères, met en péril des emplois et, en fin de compte, nous nuit à tous.

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Commerce Suisse représente la branche dans les Bilatérales III

Le paquet d’accords renforce la Suisse

Le lancement de la consultation sur le paquet d’accords avec l’UE marque une étape importante. Les Bilatérales III sont désormais sur la table. Commerce Suisse examine attentivement les documents et, en concertation avec ses membres, participera activement à la consultation ainsi qu’aux délibérations qui suivront au Parlement. Après la pause estivale, vous recevrez un questionnaire destiné à recueillir votre avis.

 

L’accès au marché intérieur européen est indispensable
Pour la Suisse, pays importateur doté d’une économie fortement tournée vers l’exportation, un accès sûr au marché intérieur européen est essentiel. Près de 50 % des exportations helvétiques – représentant plus de 130 milliards de francs – sont destinées à l’UE, tandis qu’environ 70 % des importations, soit plus de 150 milliards de francs, en proviennent. La voie bilatérale, adaptée aux spécificités de la Suisse, assure un accès à un marché de plus de 440 millions de consommateurs.

 

Marché intérieur, marché de l’électricité, recherche et plus encore : le paquet d’accords renforce la Suisse

Les fiches d’information détaillées sur le nouveau paquet d’accords montrent clairement que la voie empruntée est la bonne. Ces accords bilatéraux garantissent non seulement un accès fiable au marché européen, mais ils approfondissent également les relations dans des domaines clés tels que le marché de l’électricité, la recherche, la sécurité alimentaire et la santé.

 

Adaptée aux spécificités de notre pays, la voie bilatérale constitue une solution sur mesure pour la Suisse. Grâce au nouveau paquet, elle peut non seulement être préservée, mais aussi renforcée durablement. Pour le commerce extérieur, ces accords sont d’une grande importance : ils garantissent l’accès au marché intérieur européen, soutiennent des échanges de plus de 130 milliards de francs à l’exportation et plus de 150 milliards à l’importation, et contribuent à plus d’un million d’emplois en Suisse.

 

Au-delà d’un accès sans entrave au marché, les accords bilatéraux permettent de lever des obstacles techniques au commerce, de réduire considérablement les coûts pour les entreprises et, in fine, d’en faire bénéficier la population suisse. Au vu de la volatilité des relations commerciales avec les États-Unis, l’importance de relations commerciales stables avec l’UE s’impose avec évidence.

 

Le processus politique
La consultation dure du 13 juin 2025 au 31 octobre 2025. Les prises de position recueillies seront ensuite analysées et serviront de base aux délibérations parlementaires. Le paquet d’accords bilatéraux III devrait être examiné par le Parlement d’ici au élections fédérales de 2027, et pourraient être soumis au vote populaire en 2028.

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Le centre de transbordement de marchandises de Bâle en danger

Le commerce perd un important centre de transbordement de marchandises dans le port de Bâle

Avec l’expiration des droits de superficie sur le Westquai à la fin de l’année 2029, la ville de Bâle risque de perdre un important centre de transbordement pour le commerce de marchandises. Les projets de remplacement, comme « Basel Nord », restent controversés et, à ce jour, aucune solution de substitution concrète n’est encore assurée. Cela représente un risque majeur pour le secteur commercial. C’est pourquoi Commerce Suisse appelle à examiner les alternatives portuaires viables et au développement de scénarios concrets, afin de garantir la sécurité d’approvisionnement en biens commerciaux.

 

Le Westquai perd sa fonction portuaire
En 1999 déjà, le Conseil d’État de Bâle-Ville avait décidé de ne pas prolonger les droits de superficie sur le Westquai au-delà de 2029, en vue d’une réaffectation future de la zone à des projets d’aménagement urbain. Or, cette décision concerne un secteur central du port rhénan de Bâle, qui occupe aujourd’hui un rôle important dans le transbordement de marchandises.

 

Aucune nouvelle solution en vue
Pour compenser la suppression du Westquai, le projet de terminal trimodal « Basel Nord » avec le bassin portuaire 3 a été envisagé. Toutefois, sa réalisation reste incertaine : les décisions politiques sont encore en suspens et le financement par la Confédération n’est toujours pas confirmé. De plus, les zones protégées sur le plan écologique compliquent la planification. L’économie portuaire recherche d’autres possibilités, mais aucune n’a encore été trouvée à ce jour.

 

Les alternatives à l’étranger sont compliquées et coûteuses
Le recours à des ports étrangers impliquerait un transbordement vers des camions et des formalités douanières fastidieuses. Quant au rail, il ne dispose actuellement pas des capacités nécessaires pour absorber les volumes traités au Westquai. Dans ce contexte, Commerce Suisse demande que des solutions portuaires alternatives soient sérieusement envisagées, afin de garantir à la fois le transport régional de marchandises et la sécurité d’approvisionnement.

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Les importations directes dans le collimateur de Commerce Suisse

Commerce Suisse a réalisé des progrès importants au niveau politique en vue d’instaurer des conditions de concurrence plus équitables face aux plateformes de commerce en ligne étrangères

Commerce Suisse, en étroite collaboration avec d’autres associations économiques et organisations de protection des consommateurs, s’engage activement sur le plan politique afin d’améliorer le cadre juridique relatif aux importations directes. Les plateformes d’achat en ligne étrangères inondent le marché suisse de produits bon marché, parfois nocifs, vendus à des prix défiant toute concurrence. La problématique a maintenant atteint le monde politique : depuis 2024, plusieurs interventions parlementaires ont été déposées, visant notamment à obtenir :

 

  • des conditions de concurrence équitables entre les plateformes en ligne étrangères et les commerçants suisses,
  • des mécanismes de contrôle efficaces pour garantir la sécurité des produits et un dédouanement en bonne et due forme,
  • l’obligation d’une représentation juridique en Suisse.

 

Toutes ces demandes ont été introduites dans le discours politique sous l’impulsion de Commerce Suisse.

Premiers pas concrets des autorités

En Suisse, les modifications législatives obéissent à une procédure structurée et souvent longue. Néanmoins, une avancée significative a été franchie au 1er janvier 2025 : l’introduction de ce que l’on appelle l’imposition des plateformes. Désormais, les places de marché internationales en ligne sont soumises à la TVA.

En outre, une révision partielle de la loi sur les denrées alimentaires a été engagée. Elle vise à pouvoir sanctionner ou bloquer à l’avenir les boutiques en ligne dont les offres contreviennent au droit suisse. Le Conseil fédéral entend toutefois, dans un premier temps, procéder à une analyse approfondie de la situation – une démarche jugée trop hésitante par le commerce, compte tenu de l’urgence de la situation.

Les associations économiques augmentent la pression

En parallèle au travail législatif en cours, des représentants du secteur du commerce ont engagé un dialogue direct avec le Secrétariat d’État à l’économie (Seco) afin de discuter de mesures immédiates. En réaction, une délégation de la plateforme Temu a été convoquée en septembre 2024 et des mesures juridiques sont à l’étude.

Peu avant les fêtes de fin d’année 2024, Commerce Suisse et ses partenaires ont exigé des mesures plus fermes dans une lettre ouverte : un rappel à l’ordre officiel adressé à Temu par le Seco, une information complète des consommateurs sur les risques des produits asiatiques à bas prix ainsi que la création de bases légales permettant de mieux protéger les consommateurs et garantir une concurrence loyale.

Les médias apportent une contribution importante à l’information

Autre avancée notable : la couverture médiatique s’est nettement intensifiée. Les médias informent de plus en plus la population sur les pratiques marketing trompeuses, la qualité insuffisante des produits, ainsi que les conditions de production précaires des marchandises bon marché en provenance de Chine, acheminées en Suisse via des importations directes. Cette visibilité constitue une étape importante pour sensibiliser la population et les politiques aux risques que posent ces offres.

Commerce Suisse continuera à s’engager avec détermination pour combler les lacunes actuelles du cadre légal et pour créer des conditions de concurrence équitables entre le commerce suisse et les places de marché en ligne étrangères.

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Communiqué de presse

Les droits de douane américains sur les marchandises suisses risquent de causer de lourds dommages

Pour Commerce Suisse, les droits de douane imposés par les Etats-Unis sur les exportations suisses vers les Etats-Unis sont incompréhensibles et dommageables. Les droits de douane sur les marchandises suisses annoncés hier par le président américain Donald Trump s’élèvent à un taux exorbitant de 31%. Commerce Suisse critique cet acte unilatéral et met en garde contre les graves conséquences économiques qu’il pourrait engendrer pour l’économie suisse axée sur l’exportation, ainsi que pour les fondements du libre-échange mondial. En même temps, l’association appelle à la retenue et demande que ce conflit soit résolu par la voie de la négociation, dans le respect des règles de l’État de droit. La situation actuelle montre clairement à quel point il est essentiel pour la Suisse de disposer de relations commerciales diversifiées, notamment à travers des accords de libre-échange globaux et des Accords bilatéraux III.

Téléchargez notre communiqué de presse à ce sujet.

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« Handel-Schweiz ist aktiv und engagiert sich für den Erhalt und die Entwicklung von handelsfreundlichen Rahmenbedingungen. Denn nur ein freier Handel garantiert die Versorgungssicherheit der Schweiz und führt zu wirtschaftlichem Erfolg. »

Benjamin Stähelin

Geschäftsführer Tioman Trading SA

Ce que disent nos membres

« Handel Schweiz engagiert sich für praxisnahe Ausbildungen, um in der Berufsausbildung am Puls zu sein. Unsere Lernenden profitieren, dank einer soliden Grundlage, von tollen Karrierechancen für eine erfolgreiche berufliche Zukunft im Handelssektor. »

Karin Streit-Heizmann

Geschäftsführerin Heizmann AG

Ce que disent nos membres

« Gemeinsam mit andern für den Handel das Beste tun. »

Hans Christian von der Crone

Geschäftsführer Nimex AG / Vorstand Handel Schweiz

L’initiative pour la responsabilité environnementale va trop loin

Le 9 février 2025, l’initiative sera soumise au vote.

Le 9 février, l’initiative des Jeunes Vert·e·x·s dite initiative pour la responsabilité environnementale sera soumise au vote. L’initiative demande que la Suisse réduise nettement la consommation des ressources et les émissions de polluants en dix ans. Or, une étude réalisée par la Confédération indique qu’il faudrait réduire les rejets de substances polluantes de 67% pour respecter les exigences de l’initiative.

Quelles seraient les répercussions?

Dans son message, le Conseil fédéral met en garde contre les conséquences de l’initiative. L’initiative menace gravement l’ordre libéral du commerce suisse. Elle concerne les entreprises exportatrices, qui se trouveraient confrontées à des frais de production nettement plus élevés, ceci au détriment de leur compétitivité face à la concurrence étrangère. Le Conseil fédéral s’exprime notamment comme suit:

«Dans la mesure où cela serait judicieux sur le plan strictement écologique, certains facteurs de production, les machines en particulier, devraient être modernisés bien plus rapidement que prévu (soit avant la fin de leur durée d’utilisation habituelle).»

«Les coûts liés à l’importation de biens augmenteraient.»

Les entreprises importatrices seraient également affectées. La flambée des prix provoquée par l’initiative diminuerait le pouvoir d’achat de la population, entraînant une forte baisse de la consommation. Les biens dont la production est gourmande en ressources pourraient par conséquent être interdits ou subir une forte régulation, ce que le Conseil fédéral confirme comme suit dans son message:

«Si l’initiative était acceptée, étant donné qu’une grande partie des atteintes environnementales générées par la consommation ont lieu à l’étranger, il serait nécessaire de réguler davantage le commerce, en particulier l’importation de certaines marchandises particulièrement nuisibles à l’environnement.»

Hausse inévitable des impôts, affaiblissement de la place économique suisse

Les auteurs de l’initiative exigent que l’État compense les conséquences négatives de l’initiative, ce qui entraînerait inévitablement une augmentation substantielle des dépenses fédérales. Par ailleurs, l’exode des entreprises et des personnes aisées fuyant les répercussions de l’initiative engendrerait des pertes fiscales importantes. Il serait alors nécessaire de compenser l’augmentation des dépenses et la diminution des recettes par un alourdissement fiscal à la charge des entreprises et de la classe moyenne. Cela se traduirait par une baisse de compétitivité des entreprises, et par une diminution du pouvoir d’achat de la population. Ces deux facteurs affecteraient fortement le commerce en Suisse. Le Conseil fédéral évoque clairement cette situation dans son message:

«Selon la mise en œuvre au niveau de la loi, il faudrait augmenter l’utilisation des ressources fiscales, ce qui ferait diminuer l’attrait fiscal de la Suisse par rapport à d’autres pays.»

Les PME particulièrement touchées

«Les produits et les prestations préalables destinés au marché suisse seraient soumis à des exigences de production plus strictes que ceux destinés au marché étranger.»

Bien souvent, les PME ne disposent pas des ressources nécessaires pour produire de manière différenciée tout en restant compétitives. L’existence de nombreuses PME qui approvisionnent à la fois le marché suisse et les marchés étrangers se voit menacée par l’initiative.

Assurer la durabilité sans exigences utopiques

Ces dernières années et décennies, la Suisse a prouvé que le développement durable pouvait se faire sans mesures utopiques. Les entreprises commerciales ont largement contribué à cette évolution positive. Un cadre légal adapté à notre époque et des progrès constants grâce à l’innovation protègent l’environnement tout en cimentant un marché fort. Poursuivons sur cette voie concluante. Les initiatives radicales mettent en péril le marché, la place économique et, par conséquent, la prospérité de la population. C’est pourquoi nous recommandons de voter NON le 9 février.

Alliance «Non à l’initiative irresponsable»

Ce que disent nos membres

«Weltwirtschaftliche Krisen geben sich die Hand. Die Herausforderungen des Handels werden komplexer. Ein starker Verband mit klarer Strategie und Konsequenz gibt Orientierung und unterstützt bei anstehenden Aufgaben.»

Thomas Freuler

Präsident Schweizer Stahl- und Haustechnikverband / Spaeter AG
Vorstand Handel Schweiz

Ce que disent nos membres

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Benjamin Stähelin

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Hans Christian von der Crone

Geschäftsführer Nimex AG / Vorstand Handel Schweiz

Formation Spécialiste du E-Commerce avec brevet fédéral

Vous êtes à la recherche d’une formation continue dans le domaine du e-commerce ? Désormais, le brevet fédéral de spécialiste en e-commerce est également proposé en français. Cette formation continue vous permet d’augmenter vos chances de carrière et de vous positionner dans un secteur économique en pleine croissance.

À qui s’adresse ce brevet fédéral ?

Le brevet fédéral de spécialiste en e-commerce s’adresse en particulier aux personnes qui travaillent dans le domaine du e-commerce qui souhaitent apprendre de nouvelles choses, garder une vue d’ensemble du commerce électronique et contribuer à façonner le commerce du futur. La formation continue est particulièrement adaptée aux personnes qui ont suivi un apprentissage professionnel avec certificat fédéral de capacité (CFC) dans des domaines proches (commerce de détail, médiamatique, informatique, etc.). Mais ce brevet fédéral est également ouvert aux personnes intéressées qui ont terminé un apprentissage dans une autre branche.

Pour être admis à l’examen professionnel fédéral, il faut, outre le CFC, avoir au moins deux ou trois ans d’expérience professionnelle dans le e-commerce et avoir réussi les examens modulaires ainsi qu’avoir rédigé un rapport d’expérience.

Quel est le contenu de cette formation ?

En sept modules, vous acquérez un large éventail de connaissances indispensables pour la réussite de vos projets de commerce électronique :

  • Module 1 : Création et développement d’une plateforme numérique
  • Module 2 : Optimisation de la présentation numérique des produits
  • Module 3 : Numérisation des processus de vente
  • Module 4 : Réalisation d’activités marketing
  • Module 5 : Interaction avec des interfaces
  • Module 6 : Gestion de projets et d’équipes de projets
  • Module 7 : Travail en réseau et intervention sur le marché numérique

Un examen est passé après chaque module. Pendant la formation continue, les candidats doivent rédiger un rapport du développement de leurs propres expériences. L’examen fédéral se compose en trois parties :

  • Entretien professionnel sur le rapport du développement
  • Travail d’analyse avec présentation
  • Mini-Cases / Incidents critiques

Centres de formation

en français:

Une formation E-Commerce compacte, et en cours d’emploi, fortement axée sur la pratique, proposant une structure modulaire flexible, ainsi qu’un contenu passionnant et captivant.

en allemand:

Bon à savoir :
Après l’examen professionnel, la Confédération finance les étudiants qui ont payé eux-mêmes la formation continue à hauteur de 50% (jusqu’à un maximum de CHF 9’500) de tous les frais de formation continue préparatoire.

Saisissez l’opportunité de faire passer votre carrière au niveau supérieur ! Inscrivez-vous dès maintenant à un cours et devenez un professionnel de l’e-commerce.

Ce que disent nos membres

«Weltwirtschaftliche Krisen geben sich die Hand. Die Herausforderungen des Handels werden komplexer. Ein starker Verband mit klarer Strategie und Konsequenz gibt Orientierung und unterstützt bei anstehenden Aufgaben.»

Thomas Freuler

Präsident Schweizer Stahl- und Haustechnikverband / Spaeter AG
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Benjamin Stähelin

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Karin Streit-Heizmann

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Hans Christian von der Crone

Geschäftsführer Nimex AG / Vorstand Handel Schweiz